mercredi 18 juillet 2012

Le terminal


Je pars de bonne heure à l'aéroport. Comme je m'en doutais, le parking de réception des voitures est une usine, l'agent ne fait même pas le tour de la voiture. Trois heures d'avance, il est plus simple de quitter les Etats Unis que d'y entrer. L'embarquement commence, a peine le temps de rejoindre mon siège et les ennuis commencent. Une voix nous annonce que l'avion doit partir en maintenance et que les passagers doivent donc débarquer pour se rendre à une autre porte. Original de se rendre compte d'un problème une fois les passagers à l'intérieur. Peut être faut-il se réjouir...
Le problème est que l'avion en état de fonctionnement décollera une heure et demi plus tard, il arrivera donc à Miami une dizaine de minutes après le départ de ma correspondance pour Quito. Pas bon. A Miami, l'agent d'American Airlines nous fait rêver quelques instants en nous annonçant que le vol pour Quito est en retard également (décidément), nous atteignons le bout de la passerelle d'embarquement mais ils nous refusent car les bagages ne sont pas à bord. Un sketch.
Finalement je pars pour Lima aux alentours de minuit (un peu d'avance sur mon programme), arrivé à 4 heures du matin, j'attends le prochain vol pour Quito qui part vers 10h30. Comme pour partir de Montréal, la nuit n'est pas très reposante.
Le drame se poursuit Quito, mon bagage n'a pas suivi. La aussi je pouvais m'en douter, American Airlines a laissé mon sac sur leur prochain vol direct, il arrivera le soir même, pour ma part j'aurai déjà quitté Quito. Conclusion je rencontre mes premiers aléas de transport du voyage et découvre une compagnie aérienne à éviter !  

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